lundi 22 janvier 2007

Le truc en Cinq

C'est pas comme si je ne m'attendais pas à être atteint un moment ou à un autre ... M'y serais-je sinon collé tout seul ? Pas sur.
Bon. 5 trucs à dire que vous ne savez pas sur moi, franchement, ça devrait pas être trop difficile !

- Je n'ai pas le permis de conduire. Ce n'est pas faute d'avoir essayé (j'ai même eu deux fois le code), mais la motivation n'a jamais été suffisante à vaincre la considérable envie, dès que j'ai les mains sur le volant, d'être n'importe où ailleurs. Habitude trop ancrée de rêvasser lorsque je suis immobile dans un véhicule en mouvement. Et tout le discours virilatoire de projection égotique dans la Voiture m'indispose profondément. Du coup, soit je reste sur Paris, soit je deviens suffisamment riche pour pouvoir payer un chauffeur !

- Je n'ai pas de machine à laver. Je préfère le rituel des passages réguliers au lavomatic à un achat qui serait trop "impliquant", comme un passage dans un certain ordre établi qui ne m'attire pas. Toutes considérations économiques mises à part, continuer à louer plutôt qu'acheter un appartement tient sans doute de la même problématique.

- Je n'ai pas de téléphone portable. Professionnellement, ça surprend mes supérieurs, dont certains préfèrent penser que je refuse seulement d'en fournir le numéro, ce qui me rend non joignable "même en cas de coup dur", attitude peu appréciée. Mais cette absence de fil à la patte est un luxe tellement confortable : ne pas avoir à extirper l'engin de sa cachette, méprisant les protestations des voisins dérangés, au motif que c'est peut-être important, allez savoir, un accident dans la famille peut-être, pour finalement décrocher et comprendre, après de difficiles échanges, qu'il s'agit d'un faux numéro. Je dirais : avoir un téléphone portable sur soi, c'est accepter d'être à tout moment prêt à apprendre le pire ; je m'y refuse.

- Je n'ai pas de chaîne Hi Fi. Juste un bloc compact, avec effet stéréo élargie, basse amplifiable et lumières qui clignotent. Pourtant, vu le type de musique que j'écoute, ne devrais-je pas investir dans la Haute Qualité ? Mais la vraie Fidélité, elle a lieu dans la salle de concert, au milieu des toussotements et grincements de sièges, des souffleries et mauvais équilibres sonores, bien loin de la propreté clinique des CDs. Quand le son devient trop beau, est-ce qu'on écoute encore la musique ? Les livres dorés sur tranche ne rendent pas meilleure leur littérature, et pas toujours plus grand le plaisir qu'on a à les lire.

- Je n'ai pas de Pile à Lire. En général, je n'achète un livre que quand je termine le précédent. Ou alors je demande qu'on m'en prête un. Ou encore je plonge dans une relecture. L'objectif étant de lutter contre l'envahissement. Ne garder chez soi que les livres potentiellement relus. Je n'ai pas non plus de Pile à Écouter, mais pour une raison différente : si j'achète un CD, c'est pour l'entendre. Si j'en achète 10, ça prendra juste une bonne partie de la nuit (ça peut aussi attendre le lendemain ; mais guère plus). Par contre, des DVDs encore sous plastique, ça j'en ai !

Allez Hop. Pas trop d'esquive, finalement ? Ca change un peu !

samedi 20 janvier 2007

Première absence

Depuis que je tiens ce blogue, c'est la première fois que je dois renoncer à aller voir un concert programmé. A la place de Beethoven, du Fervex, et au lit. Pas glop.

ONL - Fenice (Cité de la Musique - 18 Janvier 2007)

Suite à une erreur dans mon dernier planning, j'étais persuadé aller à Pleyel ce soir, assister à un concert hongrois. Finalement, non : destination Venise, et non Budapest. Je ne crois pas perdre au change...
Etrange concert, qui alterne des oeuvres de Luigi Nono interprétées par l'orchestre National de Lyon dirigé par Thierry Fischer, et des oeuvres de vénitiens du XVIème et XVIIème siècle, Gabrielli, Salvatore, Frescobaldi, interprétées par l'ensemble baroque La Fenice dirigé par jean Tubéry, installé dans les hauteurs des tribunes.
Cette alternance entre l'ONL et la Fenice, sautant d'un bond d'un coté à l'autre de la deuxième mi-temps de la "forme sonate", me rappelle le disque Early Music du Kronos Quartet.

Luigi Nono - Varianti

J'ai toujours un peu peur, lorsque Nono compose pour le violon, de tomber dans l'aridité métaphysique des pièces "Hay que Caminar" ou "Fragmente Stille". Mais nous sommes ce soir dans des oeuvres presque de jeunesse, baignant dans le (post-?) sériel, où une série, prise par le violon solo, subit des variations constantes, dans un climat de fausse répétition intéressant.

Venise Baroque 1

Je ne détaille pas la suite de courtes pièces, pour groupe instrumental ou solistes, qui sont jouées sans interruption, une fois que le premier instrument a fini d'interminables vocalises d'échauffement en arrière-salle.
Le clou en sera le "Canone a otto voci sopra l'Ave Maris Stella (Canto Sospeso)" de Giovanni Pietro Del Buono, un flux de reprises et d'échos comme une rivière jaillissante.

Luigi Nono - Due Espressioni

Je retiens un long crescendo, mais qui reste en notes séparées, où Fischer s'agite comme un beau diable, et des parties pour percussion subtiles et variées.

Venise baroque 2

Après l'entracte, l'orchestre s'installe, le chef arrive, on l'applaudit, il s'asseoit sur une estrade soutenant des écrans-chronomètres bloqués pour l'instant sur un énorme "00" rouge, et tous gardent le silence. La Fenice, séparée en petits groupes installés sur les cotés, reprend son évocation en pièces succédées, mais cette spatialisation n'apporte sans doute pas la même magie que dans la Basilique Saint-Marc. Le chef, prostré, et l'orchestre, attentif, écoutent.

Luigi Nono - Per Bastiana - Tai-Yang Cheng (L'Oriente è rosso)

Le chef se lève enfin, les chronomètres égrènent secondes et minutes, une bande son défile son paysage mouvementé, les instruments ajoutent des couches tonales ou micro-tonales, pour un résultat très plein ; il parait qu'un chant chinois passe d'un groupe à l'autre.

dimanche 14 janvier 2007

Korcia Sokhiev (Salle Pleyel - 13 Janvier 2007)

Claude Debussy - Prélude à l'après-midi d'un faune

J'ai déjà entendu pire ; mais on est loin de mon idéal, pour cette pièce qui devrait être un ensorcellement. Les parties les plus ténues sont d'une lenteur vraiment exagérée, la flûte semblant figée, à en perdre le mouvement général de la mélodie ; les parties les plus orchestrales sonnent plus raveliennes que debussystes, un son épais et voluptueux plus que délicat et frémissant. J'ai l'impression que Tugan Sokhiev veut imposer sa vision personnelle, au lieu de simplement obéir à la partition ; défaut de son jeune âge.

Ernest Chausson - Poème

Après une introduction sommaire, Laurent Korcia dégaine son violon. Et c'est beau. Splendide même. Une technique extraordinaire, une impeccable maîtrise, et une émotion constante au bout de son archet. L'Orchestre National du Capitole de Toulouse joue les utilités, modeste et attentif à ne pas déranger le soliste. Intense moment de bonheur musical.

Maurice Ravel - Tzigane

Korcia reste impeccable, et l'orchestre à plus de place pour s'exprimer. Mais la partition me séduit beaucoup moins. C'est virtuose, mais guère autre-chose. Aucune "nécessité impérieuse" dans ces épisodes agités, brillants, mais parfaitement anecdotiques.
En bis, Laurent Korcia sort le grand jeu, avec une interprétation éclatante de la Troisième sonate "Ballade" d’Ysaÿe (merci Simon Corley), intensément polyphonique, où deux (parfois trois ?) lignes mélodiques s'entrecroisent, sans qu'aucune difficulté technique ne vienne faire trembler le virtuose, ni sueur, ni grimace, juste la musique.

Antonin Dvorak - Symphonie 9 "Nouveau Monde"

Sortez les tubes ! C'est une des rares symphonies où je comprendrais qu'on autorise à applaudir entre les mouvements, tant chacun d'eux s'achève en apothéose. Là, Tugan Sokhiev trouve la matière sonore à pétrir à pleins bras, qu'il avait créé de toutes pièces chez Debussy. Malheureusement, il insiste également pour ralentir les musiciens, ce qui donne un largo un peu lourd. Cela passé, entre exaltation des vastes espaces américains, et nostalgie du pays natal, le voyage à grands traits de thèmes massifs se déroule sans anicroches, et obtient le triomphe attendu.

samedi 13 janvier 2007

2007 - 1997 - 1987

Parfois l'envie me prend de proposer des quizz musicaux. Faibles succés assurés, parce que je ne sais pas proposer des sélections qui ne soient ni trop évidentes, ni trop impossibles, ou qui ne privilègeraient pas honteusement quelque lecteur particulier.
Qu'à cela ne tienne, et pour commencer l'année, je vous propose un petit voyage dans le temps, il y a 10 ou 20 ans. C'est dans la radio "Dark" que cela se passe, dans les nouveaux onglets "Sélection 1987" et "Sélection 1997".
Ce sont donc, pour chacune de ces deux années, 20 titres, venant de 20 groupes différents, et qui donnent une idée de ce que j'écoutais avant de plonger quasi exclusivement dans la musique contemporaine et le Jazz. Pas forcément des trucs moins bizarres, cela dit ...

Liste des morceaux

Vous pouvez tenter de trouvez les groupes et les morceaux proposés. Certains titres sont faciles, surtout pour 1997. J'espère néanmoins avoir mis dans chaque liste quelques numéros introuvables... Je mettrai dans les listes les noms des morceaux trouvés au fur et à mesure de vos succés.

Les redoublants

Il y a trois groupes qui ont un titre dans chacune des deux listes. Saurez-vous trouver ces trois paires ?

Les rejetons

Il y a quatre groupes qui sont des "side-projects" d'autres groupes également présents dans cette sélection. Saurez-vous indiquer qui est le dérivé de qui ?

Réponses


- Liste 1987
- Liste 1997

jeudi 11 janvier 2007

Mozart Elgar (Salle Pleyel - 9 Janvier 2007)

Lorsque le livret commence par

Au temps de Mozart, Salzbourg était un trou provincial de faible culture : le fameux festival n'a été fondé qu'après la Première Guerre mondiale, et en l'honneur du cher Mozart, justement !

et se termine par
Le London Symphony Orchestra est considéré comme l'un des cinq plus grands orchestres du monde. L'intensité de ses concerts justifie à elle seule cette réputation mais ses activités vont bien au-delà [ ... ] on peut régulièrement l'entendre à la radio, à la télévision, au cinéma, ainsi que dans des jeux vidéo, des avions, des ascenseurs et à peu près partout où des gens sont en mesure d'apprécier la musique.

j'ai un peu peur ...

Wolfgang Amadeus Mozart - Symphonie 35 K385 Haffner

Dans cette pièce pleine d'allant, je retiens principalement la flânerie enthousiaste de l'andante, le bonheur de vivre qui s'y étale tranquille et confiant, plus que l'énergie impétueuse de l'allegro initial, où les cordes, qui gardent le premier rôle toute la symphonie durant, m'agacent à varier d'intensité (piano puis forte) de manière trop sèche à mes oreilles.

Wolfgang Amadeus Mozart - Concerto pour piano 2 K482

J'ai préféré ce concerto, où Emmanuel Ax joue avec tendresse et beaucoup de naturel les flots d'arpèges. Andante qui mériterait réécoute, du Mozart douloureux, avec un orchestre aux couleurs variées. En rappel, une valse de Chopin, qui finit par être émouvante, dans son dépouillement à l'os.

Edward Elgar - Variations Enigma

Si j'ai assisté à ce concert fort peu typiques de mes goûts musicaux habituels, c'est qu'il faisait partie d'une demi-série comportant du Mahler et du Ferneyhough, et parce que découvrir ces variations m'intéressait (ceux qui voudraient des compte-rendus plus "normaux", d'auditeurs connaissant bien toutes les pièces jouées, comme ce devrait être le cas pour des pièces si classiques, se reporteront chez Paris-Broadway, chez Le Poisson rêveur ou chez Simon Corley). Dès le départ, on sent que l'orchestre connaît et apprécie cette pièce, qu'il doit jouer bien souvent : une connivence entre les pupitres, une unité de son, la sureté des solistes, les éclats qui se mettent exactement comme il faut, c'est vraiment du beau travail, dirigé par Sir Colin Davies, à la fois précis et bonhomme, se contentant d'un geste ça et là pour relancer la machinerie impeccable. Aucune faute dans cette demi-heure qui zappe d'émotions en démonstrations de vitesse, d'adagio frémissant en allegretto offensif, jusqu'à un final légèrement kitsch, au moins extravagant de citations et de références enflées.

dimanche 7 janvier 2007

Guillem Maliphant - Push (Théâtre des Champs-Elysées, 6 Janvier 2007)

De longs et beaux billets illustrent déjà ce spectacle : ambiance et chorégraphies chez Akynou, analyse en une deux trois parties chez Writ. Profitons-en pour faire plus court !

Solo

Sylvie Guillem seule, au son d'une guitare espagnole, pieds nus, mais comme une comtesse, imposant sa présence, virevoltante, précise et irradiante, balayant l'espace et la scène des jambes et des bras, posant l'espace d'un instant le genou à terre, un sentiment de puissance mais qui ne requiert aucun passage en force.

Shift

Le violoncelle remplace la guitare, et Russel Maliphant succède à sa partenaire. Jeu d'ombres, qui selon la position du danseur, apparaissent ou disparaissent, simples ou doubles, toujours subtilement décalées, succession de positions simples, une densité de présence remarquable, pas de fioritures mais l'évidence du corps et de ces articulations, presque minimal mais presque tout le temps captivant.

Two

Guillem de nouveau, dans un carré de lumière. Le dos ploie, jeu des épaules, des omoplates, des muscles sous la peau frémissante, puis le corps se redresse, ondule, se plie et se déplie, sous la drum'n'bass lourde et lente, presque entêtante, d'Andy Cowton, s'électrise peu à peu, dans un statisme frénétiquement agité splendide, observé à la jumelle.

Push

Après un fort long entracte (il faut bien que les dames visons et les vieux beaux sirotent leur champagne), ils reviennent en duo, lui la portant sur ses épaules. Si ma position au premier rang a permis à mes genoux de ne point souffrir, être bien sur un coté me prive de toute une partie du morceau, dès qu'ils s'abritent sur la gauche du plateau.
salut final

Si certains moments me semblent trop conventionnels à mon goût, presque de la danse de cour, dès qu'ils jouent avec la hauteur, elle perchée sur son épaule, ou eux frolant presque le sol à genoux, ou roulant quelques acrobaties, la beauté devient magistrale.
En conclusion, un très beau spectacle, mais donné dans une salle qui ne lui convient guère (public insupportable, et conditions de vision qui peuvent être fort médiocres).

jeudi 4 janvier 2007

Paris Carnet 42 (Bar O Cantina - 3 Janvier 2007)



(... les photos sont )

lundi 1 janvier 2007

Cinéma 2000

L'abonnement (et donc la collecte des tickets) commence en Août 2000.

Love and sex ; Harry un ami ; X men ; Shanghaï kid ; Sade ; Woman on top ; Virgin suicides ; Tigre et dragon ; Esther Kahn ; Memento ; Yi Yi ; Merci pour choc ; In the mood for lo ; Amours ; The yards ; Charlie ; Blessures ; Escrocs mais ; Chicken run ; Aniki mon frère ; La confusion des g.

Voilà voilà. Liste close.

Cinéma 2001

Une année remplie de chambres !

La ville est ; Capitaines ; Le cercle ; Traffic ; Les démons à ma po ; Félix et Lola ; La chambre des ; Sous le sable ; Mademoiselle ; Requiem ; Ring ; Le fabuleux destin ; Défense Loujine ; Roberto Succo ; La chambre ; Tailor Panama ; Insomnies ; Intuitions ; Fist of legend ; Shrek ; Panic ; Trouble ; Replicant ; Hijack stories ; Harvard story ; Graceland ; Final fantasy ; La répétition ; The mission ; Rush hour 2 ; Loin ; L'anglaise ; Human nature ; Comment j'ai ; No man's land ; La chambre ; Pornographe ; Va savoir ; Sur mes lèvres ; Betty Fisher ; The barber ; Emploi du temps ; Ghosts of Mars ; Mulholland ; Sortilège du ; Time and tide ; Italian for ; Les autres.

Cinéma 2002

Au moins un film asiatique vu en festival (si si)

The navigators ; Le seigneur ; Se souvenir des ; Tai chi master ; Ocean's eleven ; 8 femmes ; Rue des plais ; Mischka ; Ali ; Monstres et cie ; Gosford park ; Ring 2 ; Avalon ; Parle avec elle ; Le voyage ; Femme fatale ; Affaire privée ; Hollywood end ; Star wars 2 ; Ghost world ; Métropolis 2001 ; Semana ; Spiderman ; Victime ; Blade 2 ; Marie-Jo et ; L'auberge du drag ; Lantana ; Men in black 2 ; Mille millièmes ; Shaolin soccer ; Les neuf reines ; La princesse ; Filles perdues ; Simone ; La mémoire ; Corto Maltese ; Minority ; Bowling for ; Embrassez ; Intervention ; Créance de sang ; Le fils ; Bloody sunday ; O invasor ; Austin Powers ; Demonlover ; Insomnia ; L'homme sans ; Spider ; Meurs un autre ; Pour un garçon ; Ivre de femmes ; Sweet ; Un monde ; Novo ; Le seigneur.

Cinéma 2003

Couple épatant ; Dancer ; Cavale ; Après la ; Le château dans ; Punch-drunk ; CQ ; Arrête-moi ; Petites coupure ; Solaris ; La fleur du mal ; Magdalene ; Dark water ; Gangs of ; Ni pour ni contre ; Loin du paradis ; Le pouvoir ; The hours ; Le pianiste ; Stupeur et ; Cypher ; Adaptation ; Bon voyage ; Devdas ; Il est plus ; Femmes en ; El bonaere ; Les corps ; Un nouveau ; Dolls ; Tristan ; Evil dead ; Matrix reloaded ; X men 2 ; Swimming pool ; Ce jour-là ; Interstella ; Dogville ; Le mystère ; Un homme ; Cube 2 ; Confessions ; Long way home ; Charlie's angel ; Lost Mancha ; Equilibrium ; Narc ; Meilleures 1 ; Nadia ; Meilleures 2 ; L'homme de la ; Pirates des Caraïbes ; Terminator 3 ; Les invasions ; Good bye Lenin ; Le tango des ; Depuis qu'Otar ; Confidence ; Blind Shaft ; American splend ; Tais-toi ; Desperado ; Anything else ; France boutique ; Les sentiments ; Matrix ; Elephant ; Zatoichi ; Kill Bill ; Le monde de Nemo ; Pas sur la bouche ; Après vous ; Le retour du roi.

Et toujours rien coté Quartier Latin ...

Cinéma 2004

Master ; In the cut ; Mondovino ; Lost in transla ; Qui a tué Bambi ; L'hirondelle d ; 21 grammes ; Buongiorno Notte ; Inquiétudes ; Rivières 2 ; Paycheck ; Confidences ; Open range ; Big fish ; Immortel ; Agents secrets ; Printemps été ; Shara ; Monster ; Le convoyeur ; La mémoire ; Viva Laldjérie ; Hypnotic ; All tomorrow's parties ; La mauvaise ; La vie est ; Kill Bill ; La 10ème chambre ; Ladykillers ; Le rôle de sa vie ; Shrek 2 ; Wonderful days ; Super size me ; Spiderman 2 ; Just a kiss ; L'armée ; Cause toujours ; Le roi Arthur ; Chroniques ; Je suis ; Clean ; Infernal affairs ; La mort ; Pourquoi pas ; Steamboy ; Collateral ; Old boy ; Eternal sunshi ; Brodeuses ; 2046 ; Aaltra ; La demoiselle ; Le secret ; Indestructibles ; Holy Lola ; Innocence ; Maria ; Ocean's twelve ; Rois et reine.

Et la suite un autre jour ...

Cinéma 2005

Continuons ...

Le chateau ; The machinist ; Closer ; Sideways ; Vera Drake ; Le promeneur ; Les conséquences ; La petite chart ; Le couperet ; L'esquive ; De battre ; Million dollar ; Ray ; Les mots bleus ; Capitaine Sky ; Mon petit doigt ; Locataires ; Garden state ; Breaking news ; Anthony Zimmer ; Tout pour ; En bonne compag ; Star wars 3 ; The taste ; Lemming ; Sin city ; Travaux on sait ; Poupées russes ; Crazy kung fu ; L'interprète ; Batman begins ; La porte du ; Seule la mort ; Guerre mondes ; Kagemusha ; Charlie et la ; The island ; Le Mahabharata ; La ravisseuse ; Kiss kiss bang ; Broken flowers ; Moi toi et tous ; Les âmes grises ; Frères Grimm ; Caché ; Wallace et ; Serenity ; L'enfant ; Match point ; Je ne suis pas ; Les noces ; A history of vio ; Petit lieutenant ; 3 enterrements ; Le temps qui reste ; Seven swords ; Forty shades ; Petite Jérusalem ; Harry Potter.

Cinéma 2006

Etrangement, je ne ressens pas le besoin de garder trace des films vus au cours de l'année, alors que ce blogue est la troisième tentative (enfin fructueuse) d'effectuer cette mémorisation pour tout ce qui est "spectacle vivant". Pourtant, je conserve dans une boîte tous les tickets de cinéma utilisés depuis mon abonnement à l'Illimité (le but étant au départ de vérifier la rentabilité de l'investissement, puis, une fois cela amplement prouvé, l'habitude est restée). Certains sont à peine lisibles, et les titres abrégés ne me disent parfois plus rien...

Avant que tout ça ne parte dans le Grand Nulle Part, petit bilan :
2001 : 48 films
2002 : 57 films
2003 : 73 films
2004 : 59 films
2005 : 59 films
2006 : 54 films
(je vous laisse vérifier si cela correspond au profil de consommation des encartés établi dans cette épaisse étude sénatoriale)

Et petit inventaire pour cette année :
Lord of ; La vérité nue ; Mme Henderson ; Mort de Dante * ; Chaperon rouge ; Le chien jaune ; Petites confid ; L'ivresse du ; Tr. Capote * ; Renaissance ; Le passager ; Romanzo ; Burt Munro ; Les brigades ; OSS 117 ; V pour ; Mis. impossible ; Inside man ; Le samouraï * ; Bubble ; Volver * ; X men 3 ; Paris je t'aime ; Le voyage en ; Tournage dans ; Superman returns ; Vol 93 ; La raison * ; Slevin ; Pirates ; Les Berkman ; La science des ; Nausicaa ; Je vais bien ne * ; Thank you for s ; Little miss * ; A scanner darkly ; Dans Paris ; Vérité ; Les fils ; The queen * ; Les lumières du * ; De Pan ; Scoop ; Bamako ; Prête moi ; Le prestige * ; Babel ; Casino royal * ; Coeurs ; Les infiltrés ; Mauvaise foi ; Hors de prix * ; Appartement.
(* : particulièrement appréciés, sans ordre particulier)